La cuisine japonaise attire encore plus de monde depuis qu’on a inscrit le Washoku ; traditions culinaires des Japonais, dans le Patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO en 2013.
Le goût n’est pas très corsé mais persistant et agréable. Ainsi la cuisine japonaise donne moins de risque de maladies comme la tension artérielle, cholestérol etc. qui sont liées aux types d’alimentation, on dit que la cuisine japonaise permet aux personnes de vivre longtemps. En plus, c’est très nourrissant.
Les caractéristiques de ses recettes: elles « n’utilisent pas beaucoup d’épices avec un goût fort » et elles « mettent en avant les goûts des ingrédients ». Ces principes sont conformes à la philosophie des Japonais ; on trouve les dieux dans la nature puis on respect la nature et on vit avec elle en harmonie.
Par exemple, dans la manière de faire du jardinage japonais, on crée quelque chose de beau en profitant de chaque élément pour lui-même sans grand changement et en utilisant ses caractéristiques originales. Cette manière est à l’opposé de celle de l’occident ; les humains contrôlent la nature et créent les formes comme ils les imaginent. Par conséquent, la cuisine japonaise peut être unique et intéressante.
L’image qu’on a de la cuisine inscrite dans le Patrimoine culturel immatériel est qu’elle est difficile à cuisiner. Mais en réalité la cuisine japonaise n’est pas difficile à préparer. Je vous recommande de cuisiner ce patrimoine culturel immatériel à la maison 😉
Un article dans le site web de l’UNESCO ☟
« Le washoku, traditions culinaires des Japonais, en particulier pour fêter le Nouvel An »
